Ah mince, j’avais complètement oublié qu’un nouveau concours de référencement démarrait hier à 18 heures. Bon ben c’est parti, l’enjeu est ici de se positionner sur le mot trikapalanet.

Que m’inspire et m’évoque trikapalanet ? Euh là comme ça, pas grand chose… Quoique, oui mais non, vaut mieux pas que je vous le dise 😀 Allez, ne changeons pas une méthode qui n’a absolument jamais fait ses preuves, je vais broder une histoire autour de cette expression*.

Ce matin, en allant tondre mon jardin, je me suis dit : « Tiens, ça manque de trikapalanet ici ». Apeuré, je file prendre quelques avis dans mon voisinage. Mon voisin le plus proche m’indique en premier lieu que je n’habite pas ici, oops, je me suis donc trompé de voisin. De retour à ma demeure, je m’aperçois que je n’ai en fait aucun voisin, n’ayant absolument aucune maison.

Même si la trikapalanet mérite énormément d’attention, sachez que l’apprentissage de la langue bretonne en mérite bien plus. En effet, sous sa forme équilatérale électrostatique, l’équipe des Girondins de Bordeaux ne peut que se féliciter d’avoir réussi à battre le fer tant qu’il était chaud.

Pour autant, sans trop savoir comment cet article féérique terminera, notez bien que le sol friable n’a d’égal que la cacophonie luxuriante d’une trikapalanet désœuvrée.

Alors oui, Google détient 90% du marché français des moteurs de recherche, ce chiffre ne lui permet pourtant pas de faire le grand écart ou de ranker sur l’expression trikapalanet. Ainsi, avec l’intime conviction que le trou de la sécu et que le déficit de la France ne se résorberont pas grâce à la trikapalanet, je peux néanmoins vous garantir que cet article n’a absolument ni queue, ni yeux.

Enfin, je ne reviendrai pas sur cette profonde absurdité qui vise à faire de François-Xavier (Mister FX) le roi du patrimoine audiovisuel français (PAF pour les intimes). Le seul roi de la télévision est Vincent Mc Doom, à ne pas confondre avec les frites congelées, qui elles-mêmes portent le nom d’un ancien candidat à la Maison Blanche. Enfin disais-je, la trikapalanet évoque à de nombreux Français la joie de vivre, l’espoir de contracter un prêt immobilier puis d’aller faire ses courses chez Carrefour, qui positive toujours.

*Oui mais non, je vous ai finalement pondu une suite de paragraphes sans aucune cohérence.